Puisque vaincre la morosité semble un combat de tous les instants en cet été où le soleil se terre comme Maxim Roy (les amateurs de Lance et Compte sauront partager ma nostalgie), un investissement massif de kilojoules dans le divertissement se doit d'être fait.
C'est ainsi que je me suis retrouvé en un clair mardi soir, après un sinueux chiffre au Royaume du Pain à passer, entre autres, 1h30 à regarder des boules de pâte tomber sur un convoyeur et les distancer, dans un petit bar lévisien. À mes côtés, The Warrior, Le Poudré ainsi que l'ailleurs surnommé Chéri d'Amour. C'est dans un bar semi bondé que j'assiste à un beau spectacle, à commencer par les salutations d'usage du Poudré et de Chéri d'Amour qui ne manque pas de simuler une franche enculade, matérialisation d'une aussi franche camaraderie.
Les pichets ou 20 onces s'enfilent respectablement, l'ambiance est sympathique. Arrive le point tournant de la soirée où Chéri d'Amour, après avoir subtilement affirmé aller s'acheter à boire, revient avec un doux plateau de 12 shooters de téquila. Après avoir expliqué à 4 ou 5 reprises le rituel d'ingurgitation au Warrior qui a visiblement un taux de compréhension à fort coefficient décroissant en fonction de son taux d'alcool, nous engloutissons cet alcool qui a tôt fait de nous réchauffer les entrailles.
Débute ensuite une intense valse de destruction massive de verre. Après avoir vider d'une traite son verre, le Warrior s'élance avec une vigueur digne de la ferveur d'un public chinois pour venir le frapper sur la table. Dans un élan surhumain, il vient fracasser son verre avec une ferveur désarçonnante. Saoul, il n'en fait point de cas. Chéri d'Amour fera de même avec un verre d'une deuxième valse de téquila. Le tout étant finalisé par l'éclatement d'un troisième verre, accroché lors de célébration post-calage.
S'enchaine alors de gras propos crier à une force déroutante. C'est ainsi que "Criss que j'engrosserais la barmaid", "Lick moé les balles", "Je fourrerais une lilliputienne pour un BigMac" et "J'ai l'orgueil gros comme une bite de noir" sont lancés à qui mieux mieux dans un bar trop tranquille.
Arrive alors un stade un peu plus brumeux marqué par le classique Coeur de loup joué à 3 reprises alors que se trémoussent sur le bar 2 jeunes demoiselles dans ce qui semble être désormais rituel coutumier dans plusieurs bars. Elles se frottent mutuellement en finissant par s'embrasser. Voilà un phénomène grandissant qui ne cesse de me méduser. What the fuck aves les filles qui se frenchent BIG TIME?
On déambule par la suite dans diverses rues pour finir sur une terrasse quelconque avec une vue imprenable sur Québec. On parle disparatement comme le ferait 3 hommes et demi réchauffés (le Warrior n'étant plus de ce monde). Chéri d'Amour m'apprend qu'avant ce soir, il s'informait à savoir si j'allais être présent lors de nos partys communs puisqu'il savait que s'il avait le goût de se battre, il viendrait me voir. Voilà de la sincérité comme je l'adore. Prétexte, le fait que je sois fort fendant, ce que je projette. Toujours intéressant de voir la perception de soi qu'ont les autres. Plusieurs semblent avoir cette image de ma personne, matière à réflexion sans doute.
Je finis par ramener mes comparses avec ma T-Mobile. Me couche.
Difficile lendemain, le mélange, bien qu'en peu de quantité, fait toujours souffrir. Mal de bloc, esprit embrouillé, bouche pâteuse. Je me suis endormi sur la radio, oreille bourdonnante. Malgré tout, l'espace d'un moment, j'ai pu varié mon quotidien qui me gruge chaque jour un peu plus profondément.
C'est ainsi que je me suis retrouvé en un clair mardi soir, après un sinueux chiffre au Royaume du Pain à passer, entre autres, 1h30 à regarder des boules de pâte tomber sur un convoyeur et les distancer, dans un petit bar lévisien. À mes côtés, The Warrior, Le Poudré ainsi que l'ailleurs surnommé Chéri d'Amour. C'est dans un bar semi bondé que j'assiste à un beau spectacle, à commencer par les salutations d'usage du Poudré et de Chéri d'Amour qui ne manque pas de simuler une franche enculade, matérialisation d'une aussi franche camaraderie.
Les pichets ou 20 onces s'enfilent respectablement, l'ambiance est sympathique. Arrive le point tournant de la soirée où Chéri d'Amour, après avoir subtilement affirmé aller s'acheter à boire, revient avec un doux plateau de 12 shooters de téquila. Après avoir expliqué à 4 ou 5 reprises le rituel d'ingurgitation au Warrior qui a visiblement un taux de compréhension à fort coefficient décroissant en fonction de son taux d'alcool, nous engloutissons cet alcool qui a tôt fait de nous réchauffer les entrailles.
Débute ensuite une intense valse de destruction massive de verre. Après avoir vider d'une traite son verre, le Warrior s'élance avec une vigueur digne de la ferveur d'un public chinois pour venir le frapper sur la table. Dans un élan surhumain, il vient fracasser son verre avec une ferveur désarçonnante. Saoul, il n'en fait point de cas. Chéri d'Amour fera de même avec un verre d'une deuxième valse de téquila. Le tout étant finalisé par l'éclatement d'un troisième verre, accroché lors de célébration post-calage.
S'enchaine alors de gras propos crier à une force déroutante. C'est ainsi que "Criss que j'engrosserais la barmaid", "Lick moé les balles", "Je fourrerais une lilliputienne pour un BigMac" et "J'ai l'orgueil gros comme une bite de noir" sont lancés à qui mieux mieux dans un bar trop tranquille.
Arrive alors un stade un peu plus brumeux marqué par le classique Coeur de loup joué à 3 reprises alors que se trémoussent sur le bar 2 jeunes demoiselles dans ce qui semble être désormais rituel coutumier dans plusieurs bars. Elles se frottent mutuellement en finissant par s'embrasser. Voilà un phénomène grandissant qui ne cesse de me méduser. What the fuck aves les filles qui se frenchent BIG TIME?
On déambule par la suite dans diverses rues pour finir sur une terrasse quelconque avec une vue imprenable sur Québec. On parle disparatement comme le ferait 3 hommes et demi réchauffés (le Warrior n'étant plus de ce monde). Chéri d'Amour m'apprend qu'avant ce soir, il s'informait à savoir si j'allais être présent lors de nos partys communs puisqu'il savait que s'il avait le goût de se battre, il viendrait me voir. Voilà de la sincérité comme je l'adore. Prétexte, le fait que je sois fort fendant, ce que je projette. Toujours intéressant de voir la perception de soi qu'ont les autres. Plusieurs semblent avoir cette image de ma personne, matière à réflexion sans doute.
Je finis par ramener mes comparses avec ma T-Mobile. Me couche.
Difficile lendemain, le mélange, bien qu'en peu de quantité, fait toujours souffrir. Mal de bloc, esprit embrouillé, bouche pâteuse. Je me suis endormi sur la radio, oreille bourdonnante. Malgré tout, l'espace d'un moment, j'ai pu varié mon quotidien qui me gruge chaque jour un peu plus profondément.
5 commentaires:
C'est de la faute a Katy Perry...
@kattykane: On a peut-être une partie de la solution ici.
Katy Perry n'a fait que profiter d'un phénomène déjà en pleine expansion. Est-ce que j'approuve? Parfois.
Dans un autre ordre d'idées, j'espère bien que tu pétais pas la balloune, jeune homme!
@pinocchio: Non, pas de danger. Déjà correct, on est allé marcher un bout bout dans le ville afin de m'assurer un dégrisage optimal!
Tout y est bien conçu dans votre site et très beau avec beaucoup de choix, c’est une merveille !!Félicitations. Amicalement .
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