Nuit noire, une fois de plus. Je consomme ma solitude à coup de 355 millilitres, une solitude froide et pétillante. Glaciale mais qui me brûle le gosier et m'étourdit tandis que les minutes s'écoulent à une lenteur indécente. Il fait presque silence ici. Seul le bruit terne du réfrigérateur et le cliquetis de mes doigts pianotant sur le clavier trouble le calme absolu.
Dans ma tête, mon esprit, des notes brumeuses tardent à se matérialiser. Je respire lentement, écoute le bruit de mes inhalations régulières, on croirait y percevoir un rythme sous-jacent. Je me laisse vibrer à la fréquence de mon coeur. Je le sens pousser le sang à coup de pulsations, battant la cadence d'une musique qui m'échappe toujours. Inconsciemment, je tape du pied, nerveusement. Je secoue la jambe frénétiquement dans la plus totale insouciance. Et puis je prends une pause, tente de voir ce qui s'y trotte. Et je trouve enfin.
Dans ma tête, mon esprit, des notes brumeuses tardent à se matérialiser. Je respire lentement, écoute le bruit de mes inhalations régulières, on croirait y percevoir un rythme sous-jacent. Je me laisse vibrer à la fréquence de mon coeur. Je le sens pousser le sang à coup de pulsations, battant la cadence d'une musique qui m'échappe toujours. Inconsciemment, je tape du pied, nerveusement. Je secoue la jambe frénétiquement dans la plus totale insouciance. Et puis je prends une pause, tente de voir ce qui s'y trotte. Et je trouve enfin.
TRRRRAAAAAGGGGGGEDDDDDDYYYYY!
1 commentaire:
Merci pour ces bons moments sur votre blog. Je suis souvent au poste pour regarder (encore et toujours) ces merveilleux articles que vous partagé. Vraiment très intéressant. Bonne continuation à vous !
Enregistrer un commentaire