Puisqu'il faut battre le fer lorsqu'il est chaud, je n'ai fait ni une ni deux ni un autre chiffre random afin d'allonger cette phrase inutilement dès le départ de ce texte, moi et trois comparses sommes parti hier matin en direction du Nord pour un périple de 4 jours qui nous mènera ultimement au barrage Manic 5. C'est ainsi que ma T-Mobile s'est retrouvé foulé de ma personne ainsi que de La Légende, The Warrior et L'enfant Roi qui désormais est connu sous le nom de Fucking Matt Damon. Étant des hommes de justesse, le départ prévu pour 10 heures eu lieu à 10h45. Voilà qui s'annonçait prometteur.
Comme depuis 1 semaine, parce que Dame Nature se découvre une pitié, le soleil resplendit. Les astres semblent alignés pour un périple des plus mémorables. Après 2 heures et quelques de route dans mon véhicule plus étroit que l'esprit de l'Ontarien moyen, nous arrêtons à River of the Wolf pour un ravitaillement dans un Parc Marin qui s'avère aussi marin que Dan Bigras bien vêtu. Après s'être enquérit de notre chemin auprès d'un vieil homme surmotivé à nous diriger, nous nous rendons tant bien que mal à une hydromellerie où nous nous approvisionnons en alcool de miel. Sur le passage, nous sommes troublé par la quantité inexorable de déficient intellectuel qui peuple les rues mal entretenues du profond Québec ainsi que par le nombre effarant de publicités Parasuco qui sont situés le long de la 132.
Après avoir passé un simili barrage policier où l'alcool situé à même l'habitacle passe inaperçu, nous reprenons la route en direction d'une mythique mine de barytine situé dans le doux St-Paul-de-la-Croix. Une fois sur place, nous visitons les installations guidé d'un homme à voix caverneuse, rouquinement barbu et avec un drôle d'accent. Moment marquant de la visite: la fermeture des lumière de la grotte où nous sommes donc plongé dans le noir absolu n'étant pas sans rappeler l'intellect de Pierre Falardeau. Une randonnée sur la montagne nous a également permis d'obtenir une vue imprenable sur les campagnes environnantes. Moment nébuleux: visionnement de témoignages d'anciens miniers frénétique dans leurs mouvements de langue offrant en arrière plan chaise berçante et bières assis sur des bancs d'autobus dans une grange désaffectée.
Quelques dernières minutes de route nous mènent à Rimouski où nous débusquons logis à haut coût. En effet, nous avons passé la nuit dans une SUITE (oh yeah, cashing) de l'hôtel Rimouski, endroit luxueux offrant piscine et équipe de balle-molle mongole. La proximité du downtown de la ville nous a également permis d'aller se fondre à la faune des lieux dans un bar recommandé par la jeune dame du bureau de tourisme. Expérience plutôt décevante si ce n'est que la performance de danse du sublime Fucking Matt Damon qui ne manqua guère de se déhancher avec protubérance. Le tout pour finalement clore notre soirée par une intrusion alliant le bref et l'insane dans un bar nommé BAR où nous avons pris d'assaut le dancefloor le temps d'une demie chanson du coloré Mika. Quoi de mieux que de se trémousser sur Love Today. Le point le plus positif du lieu hotellier étant sans le moindre doute le brunch/buffet où nous nous sommes grassement gavé ce matin jusqu'à ce que le serveur doté d'un zèle laissant perplexe vienne cavalièrement nous signifier de calisser notre camp.
Nous reprenons la route, direction Matane Beach où le traversier nous attend pour 17 heures. Notre périple vers le barrage se poursuit.
Comme depuis 1 semaine, parce que Dame Nature se découvre une pitié, le soleil resplendit. Les astres semblent alignés pour un périple des plus mémorables. Après 2 heures et quelques de route dans mon véhicule plus étroit que l'esprit de l'Ontarien moyen, nous arrêtons à River of the Wolf pour un ravitaillement dans un Parc Marin qui s'avère aussi marin que Dan Bigras bien vêtu. Après s'être enquérit de notre chemin auprès d'un vieil homme surmotivé à nous diriger, nous nous rendons tant bien que mal à une hydromellerie où nous nous approvisionnons en alcool de miel. Sur le passage, nous sommes troublé par la quantité inexorable de déficient intellectuel qui peuple les rues mal entretenues du profond Québec ainsi que par le nombre effarant de publicités Parasuco qui sont situés le long de la 132.
Après avoir passé un simili barrage policier où l'alcool situé à même l'habitacle passe inaperçu, nous reprenons la route en direction d'une mythique mine de barytine situé dans le doux St-Paul-de-la-Croix. Une fois sur place, nous visitons les installations guidé d'un homme à voix caverneuse, rouquinement barbu et avec un drôle d'accent. Moment marquant de la visite: la fermeture des lumière de la grotte où nous sommes donc plongé dans le noir absolu n'étant pas sans rappeler l'intellect de Pierre Falardeau. Une randonnée sur la montagne nous a également permis d'obtenir une vue imprenable sur les campagnes environnantes. Moment nébuleux: visionnement de témoignages d'anciens miniers frénétique dans leurs mouvements de langue offrant en arrière plan chaise berçante et bières assis sur des bancs d'autobus dans une grange désaffectée.
Quelques dernières minutes de route nous mènent à Rimouski où nous débusquons logis à haut coût. En effet, nous avons passé la nuit dans une SUITE (oh yeah, cashing) de l'hôtel Rimouski, endroit luxueux offrant piscine et équipe de balle-molle mongole. La proximité du downtown de la ville nous a également permis d'aller se fondre à la faune des lieux dans un bar recommandé par la jeune dame du bureau de tourisme. Expérience plutôt décevante si ce n'est que la performance de danse du sublime Fucking Matt Damon qui ne manqua guère de se déhancher avec protubérance. Le tout pour finalement clore notre soirée par une intrusion alliant le bref et l'insane dans un bar nommé BAR où nous avons pris d'assaut le dancefloor le temps d'une demie chanson du coloré Mika. Quoi de mieux que de se trémousser sur Love Today. Le point le plus positif du lieu hotellier étant sans le moindre doute le brunch/buffet où nous nous sommes grassement gavé ce matin jusqu'à ce que le serveur doté d'un zèle laissant perplexe vienne cavalièrement nous signifier de calisser notre camp.
Nous reprenons la route, direction Matane Beach où le traversier nous attend pour 17 heures. Notre périple vers le barrage se poursuit.
3 commentaires:
Bon voyage el Gros!!
Mike Ward
Heya, un voyageur qui ose même s'approcher de la splendide Gaspésie ! J'espère que votre périple se déroule bien ^^
bonjour,j’ai eu le plaisir de me rentre sur ce blog,l’ambiance ,la qualité des installations,le sentiment de liberté de bien être vous gagne des vôtre arrivé, voilà, je peux dire beaucoup de chose mais allez y vous verrez par vous même !!!
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