D’antan, certains se souviendront d’un jeune garçon,
Son cœur, plus vaste qu’océans le jurait-on,
La nitescence de ses yeux, remède à tous maux,
On le disait ultime démiurgique cadeau.
Idolâtré, on le croyait divin symbole,
Parcimonieuses étaient ses timides paroles,
On le croyait archétype de la perfection,
Qu’importe qu’il ait souffert de sombres spoliations.
Puis vint fade aurore qui le porta disparu,
Tous se considéraient bien durement dépourvus.
Bien sûr, personne n’en vint à justement croire,
Qu’au fond des frêles perchis, il avait fui désespoir.
Les effluves du temps en saline statue l’ont transformé
Tandis que son œil d’une pérenne larme est cruellement orné. orné.
5 commentaires:
Joli, très joli. Le hic c'est que je n'en ai rien compris!
@volage: C'est un peu (beaucoup) l'histoire d'un petit garçon idolâtré par son entourage qui est tanné de vivre avec cette pression des attentes non fondées et qui décide de s'enfuir.
J'adore!, you know?
Votre site est superbe et très bien expliqué.
voyante
Félicitation à tous ceux qui veillent pour le bon déroulement de ce magnifique blog !!
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